De début avril à fin octobre 2018, se dérouleront des débats et des exercices de démocratie participative dans 27 pays européens. Cette large consultation vise à restaurer le lien entre les peuples et la construction européenne.
Pourquoi ? Recueillir les impressions et propositions des citoyens sur l’Europe.
Quand ? Débats citoyens d’avril à octobre, restitutions en novembre au CESE, puis présentation des contributions lors du Conseil européen de décembre 2018.
Où ? Partout en France et dans l’ensemble des États membres de l’Union européenne.
Comment ? Par le biais de débats et de consultations en ligne.
Qui ? L’ensemble de la population, quels que soient l’âge, le genre, la profession ou la provenance géographique, est invitée à participer.
Pour quel résultat ? Une restitution des débats et des contributions lors du Conseil européen de décembre 2018 et leur prise en compte dans le projet de refondation de l’UE.
Pour enchanter de nouveau, l’Europe doit être refondée sur les bases d’un projet plus audacieux, plus démocratique, libérateur des énergies et attractif des talents. Une promesse de mieux.
Les consultations citoyennes ont pour objectif de refonder l’Europe en donnant la parole aux citoyens. L’ambition est de mobiliser un nombre très important de citoyens en organisant des débats classiques, des consultations numériques et des processus de démocratie participative.
Pour enchanter de nouveau, l’Europe doit être refondée sur les bases d’un projet plus audacieux, plus démocratique, libérateur des énergies et attractif des talents. Une promesse de mieux.
Les consultations citoyennes ont pour objectif de refonder l’Europe en donnant la parole aux citoyens. L’ambition est de mobiliser un nombre très important de citoyens en organisant des débats classiques, des consultations numériques et des processus de démocratie participative.
Cette conférence, qui sera désormais annuelle, a permis de définir les thématiques prioritaires pour la société civile organisée. Les sections de travail ont intégré sur la base des axes stratégiques votés par l’assemblée, les thématiques nouvelles portées par le discours de politique générale du Premier ministre et les axes du programme du Président élu.
Cette conférence qui s’est déroulée sur deux jours, a été ouverte par le Premier Ministre et clôturée le 12 juillet par le Secrétaire d’État auprès du Premier ministre chargé des Relations avec le Parlement.
Cela s’inscrit pleinement dans la mission constitutionnelle du CESE, mission d’assemblée consultative auprès des pouvoirs publics.
Cette conférence, qui sera désormais annuelle, a permis de définir les thématiques prioritaires pour la société civile organisée. Les sections de travail ont intégré sur la base des axes stratégiques votés par l’assemblée, les thématiques nouvelles portées par le discours de politique générale du Premier ministre et les axes du programme du Président élu.
Cette conférence qui s’est déroulée sur deux jours, a été ouverte par le Premier Ministre et clôturée le 12 juillet par le Secrétaire d’État auprès du Premier ministre chargé des Relations avec le Parlement.
Cela s’inscrit pleinement dans la mission constitutionnelle du CESE, mission d’assemblée consultative auprès des pouvoirs publics.
Il est urgent de poser les jalons d’un débat éclairé et accessible à tous sur la fiscalité pour redonner aux citoyens l’envie de participer au débat public. Au-delà, se pose la question centrale du bien-fondé de l’impôt et donc de la légitimité du consentement à l’impôt.
Aujourd’hui, peut-on repenser notre démocratie sans réforme fiscale ? C’est la question à laquelle nous essayons de répondre avec Nina Bourgier dans une note publiée par la Fondation Jean Jaurès en partenariat avec point d’æncrage.
« Le génie de la liberté réprouve tout ce qu’il y a d’arbitraire ou de discrétionnaire dans l’impôt », écrivait en 1782 Alexander Hamilton, l’un des pères fondateurs des États-Unis et le premier Secrétaire au Trésor.
Aujourd’hui, peut-on repenser notre démocratie sans réforme fiscale ? C’est la question à laquelle nous essayons de répondre avec Nina Bourgier dans une note publiée par la Fondation Jean Jaurès en partenariat avec point d’æncrage.
Le scénario négaWatt 2017-2050 a été rendu public mercredi 25 janvier 2017. Il met notamment l’accent sur les emplois durables qui pourraient être crées grâce à la transition énergétique.
L’un des points-clés du scénario concerne l’emploi :
« Le scénario négaWatt s’avère globalement moins coûteux que le scénario tendanciel, même en considérant un prix des énergies importées stable. Il est aussi nettement plus riche en emplois : la transition énergétique crée pas moins de 400 000 emplois nets d’ici 2030, confirmant les analyses antérieures. La société française devient ainsi plus résiliente face à d’éventuels chocs extérieurs tels que, par exemple, une crise géopolitique entraînant une rupture d’approvisionnement ou une hausse soudaine du prix du baril. »
La loi relative à la transparence, à la lutte contre la corruption et à la modernisation de la vie économique (dite « Sapin 2 ») a été partiellement validée par le Conseil constitutionnel. Plusieurs articles liés notamment à la transparence ont été censurés.