Le 23 avril, j’étais dans l’émission C Politique sur France 5 pour parler du courage de mon ami Ilya Yashin, de Vladimir Kara-Murza et de tous ceux qui se battent contre l’atroce guerre menée par le régime de Poutine en Ukraine. Leur combat pour la liberté et la démocratie est très important pour l’Europe. Il faut continuer à aider la résistance ukrainienne et tous ceux qui se battent contre le régime de Poutine.
Merci à Thomas Snegaroff pour l’invitation et son travail sur ce sujet clé.
C’était donc il y a trente ans. Des images de liesse, des embrassades, Mstislav Rostropovitch jouant du violoncelle devant le Mur de Berlin en voie de démolition. Les sourires sur les visages de Václav Havel et Lech Wałęsa, ces figures de la « révolution de velours » que le grand public européen découvre tout juste. L’histoire était loin d’être finie, mais des peuples européens avaient réussi ce que, encore quelques années auparavant, personne n’imaginait être possible : faire chuter, pacifiquement dans la plupart des cas, l’une des pires dictatures du XXe siècle.
Mon intervention dans l’émission « Droit de suite » sur LCP pour parler des aspirations de la société russe, de son rapport à l’État, aux libertés et aux valeurs européennes.
Mon intervention dans l’émission « Droit de suite » sur LCP pour parler des aspirations de la société russe, de son rapport à l’État, aux libertés et aux valeurs européennes.
Notre tribune avec Daniel Cohn-Bendit et André Gattolin publiée dans Ouest France pour souligner que la défense de l’État de droit fait le « sens de l’Europe » face à la montée des nationalistes.
Notre tribune avec Daniel Cohn-Bendit et André Gattolin publiée dans Ouest France pour souligner que la défense de l’État de droit fait le « sens de l’Europe » face à la montée des nationalistes.
« L’autre 68. Leçons du Printemps de Prague » – ma nouvelle publication dans la Revue Esprit. 50 ans après, l’engagement pour les libertés de Vaclav Havel et sa génération doit nous inspirer le courage de défendre, à notre tour, la démocratie européenne.
Après plusieurs rencontres passionnantes avec des militants pour les droits humains en Europe centrale et orientale, je propose de voir quelles leçons de cet « autre mai 1968 » et des réflexions de Václav Havel pouvons-nous utiliser pour répondre aux enjeux européens aujourd’hui.
« La fin de l’histoire européenne n’est pas encore devant nous ! »
« Nous n’entendons pas rester les bras croisés pendant que la révolution réactionnaire tente de démanteler ce qui nous est précieux. »
Voici la tribune que je co-signe dans Ouest-France avec Anna Garmash, présidente de l’ONG Ukraine Action, Franziska Brantner, députée verte allemande, Evan O’Connell, militant pro-européen, Blaise Gonda, militant pro-européen franco-hongrois et Małgorzata Szuleka, responsable plaidoyer, Helsinki Foundation for Human Rights, Pologne.
« La fin de l’histoire européenne n’est pas encore devant nous ! »
« Nous n’entendons pas rester les bras croisés pendant que la révolution réactionnaire tente de démanteler ce qui nous est précieux. »
Voici la tribune que je co-signe dans Ouest-France avec Anna Garmash, présidente de l’ONG Ukraine Action, Franziska Brantner, députée verte allemande, Evan O’Connell, militant pro-européen, Blaise Gonda, militant pro-européen franco-hongrois et Małgorzata Szuleka, responsable plaidoyer, Helsinki Foundation for Human Rights, Pologne.
As we mark the anniversary of the 1968 Prague Spring — when Warsaw Pact tanks crushed the hopes of a pro-democracy movement — it is tempting to imagine that the era of authoritarian powers has come to an end. That fundamental rights and freedoms are secure in Europe. That its citizens, armed with the memory of the 20th century, would not wish to see brutal governments return. But that would be a mistake.
Fifty years after tanks rolled into Prague, and almost 30 years after the Berlin Wall came down, authoritarianism is back at the heart of the EU, a union founded on the promise of “never again.”